entrée :
Nous sommes arrivés par avion (voir la page spéciale)
Pas besoin de carnet de passage en douane.
Indiquer à l’arrivée à l’aéroport la durée du séjour souhaitée : 30, 60 jours...
Pas de taxe d’entrée.

sortie (Ipiales) :
Fournir son passeport.
Pour le véhicule, rendre le document d’importation temporaire.
Démarche rapide (30 min) et claire avec douaniers agréables.
Pas de taxe de sortie.

L’assurance est obligatoire. Il s’agit de la « SOAT » (Seguro Obligatorio de Accidentes de Transito). Elle peut être contractée dans les stations service affichant « SOAT » souvent sous le prix des carburants. Nous l’avons contracté à la Suramericana à Cartagena, dans la vieille ville, à côté de la place de la Reloj.
En général, pas de possibilités de contracter pour moins de 3 mois. Coût : environ 70 USD (122’000 pesos)

Prix moyen au litre (mars-avril 2010) : 1785 COP (0.71 €).
Toutes les stations services proposent du diesel.

On trouve en général des stations de gaz près des grandes villes. Le remplissage des bouteilles américaines est souvent refusé. Il faut insister. En bidouillant, ils arrivent à les remplir.

C’est la débrouille. En général on trouve de l’eau dans les stations service.
Les vidanges se font dans les égouts.

On trouve assez facilement des distributeurs automatiques.
Les distributeurs acceptent en général Visa et MasterCard, parfois Maestro.
La plupart des distributeurs ont une limite de retrait (300’000 ou 400’000 COP).
Effectuer ses retraits avec discrétion.
Les achats se règlent le plus souvent en cash.
Toujours avoir un faux portefeuille sous la main.

Les routes principales sont en très bon état. Mais la plupart sont des routes de montagnes, donc ne pas espérer dépasser les 50 km/h de moyenne...
Toutes les routes principales sont à péage, sections de 6500 à 8500 pésos.
Sur les routes principales, il y a des postes de contrôles - police ou militaire - tous les 2 à 5 km. Mais nous n’avons été arrêtés que 2 ou 3 fois et plus par curiosité que pour être contrôlés. Contrôles toujours très courtois et sympathiques.
Les colombiens respectent plutôt les limites de vitesses mais dépassent volontiers sur les doubles llignes continues dans les virages sans visibilité...

De préférence dormir dans des endroits fermés (verrouillés) ou surveillés (police, garde armé...) ou alors toujours demander aux locaux si l’endroit est sécuritaire. Nous avons dormi plusieurs fois dans la rue sans aucun souci (après avoir demandé aux locaux :o)

Le coût de l’alimentation est quasi identique à celui de la France.
Les prix des restaurants sont très variables selon les endroits qu’ils soient touristiques ou pas. On peut toutefois trouver des plats du jour (entrée soupe, plat principal et boisson pour 8000 COP soit environ 3 €).

On trouve facilement des internet café à un prix modique.

Toujours rester vigilant et se renseigner auprès des locaux sur les routes ou les régions à traverser (les narcotraficants et les FARCS sont encore présents mais surtout dans les régions reculées). Moyennant cette vigilance nous n’avons eut aucun sentiment d’insécurité durant toute notre traversée.
On peut se fier à la Police.

Les Colombiens sont curieux de notre voyage et ont été extrêmement agréables. Assurément c’est le peuple le plus gentil que nous ayons rencontré. Notre pays coup de coeur.

Lieux / activités que nous avons vraiment apprécié (subjectif !)

La Zone café, le Parque Cocora, Bogota.